Welcome to Florida

Carte d'identité

• Alec Jeremiah Paulse

• Feat Alex Pettyfer

• Thalahassee, Floride

• 20ans

• Maître nageur

Derrière l'ordinateur

• JJ, Bouricot
• 18ans (a)
• 7/7 *vacaances*
• ~~Français . Canadien .~~ Autres; Suisse

Photo d'identité

Misery Angel
Passeport pour le parc

« Tu as dit QUOI ?
« J’ai simplement dit : ne me demande pas d’être sincère si c’est pour te vexer après !
« Non mais ! Ecoutez ce gros lourd de première ! Et ça croit que je vais l’accompagner au bal !
« Si tu ne m’accompagnes plus, pourquoi viens-tu de prendre une nouvelle robe ?
« ‘toujours dit que t’étais qu’un con !

Line Mack tira énergiquement le rideau derrière elle tenant fermement sa nouvelle acquisition, tandis que Jason Paulse levait les yeux et jeta un coup d’œil à sa montre. Qu’est-ce qui lui avait pris de lui demander à elle de l’accompagner à ce fichu bal d’étudiant ? Quoique … ce n’était pas lui qui avait demandé, mais sa mère. Sa mère qui était très amie avec la maman de Line et qui adorait Line. Sa mère qui avait juré de le faire souffrir si il faisait verser une larme à la jolie Line. Voilà d’où venait la véritable invitation. Néanmoins, il fallait bien l’avouer, la Line était amusante et Jason l’aimait bien. Peut-être un peu plus. Sûrement plus si elle apprenait à se la fermer de temps en temps ou à réfléchir un poil. Non mais ! Elle lui avait demandé d’être sincère sur cette robe qu’elle essayait et Jason l’avait été. Elle ressemblait honnêtement à un cochon qu’on essaierait d’étouffer à l’aide d’une robe. Une bien triste torture. Bon, peut-être que cela manquait un peu de diplomatie.

« … de toutes manières, le seul moyen de plaire à Môssieur, c’est d’être comme ça !
« mais rien à gnavoir. OO
« T’vois. T’es bouche bée, j’avais raison.

Line venait de tirer le rideau la dévoilant en sous-vêtements noirs sur son teint pêche, une lueur de défi dans ses yeux noisettes, ses cheveux blonds légèrement en bataille. Mais ça, Jason ne le voyait. Ses yeux faisaient l’aller-retour entre la brassière et le tanga de la demoiselle et il les sentaient se tourner. Ha ouais quand même. Elle n’était pas si mal la petite Line. En plus, elle savait ne pas l’ennuyer.

« ‘t’es qu’un pervers Paulse !
« Mais tu m’accompagneras quand même au bal …
« Bah bien sûr ! T’es mon carton d’invitation. Sans toi, exit LA soirée dont tout le monde rêve.
« Autant d’amour me touche.
« Tu sais pas quel amour j’te porte !
« Li… ?

Mais Jason se retrouva à nouveau face à face avec ce drap blanc. Il entendait Line bouger derrière en essayant probablement une autre robe hors de prix. Ce serait probablement une soirée intéressante et le bon moyen de voir qui était vraiment Line. Il la connaissait depuis quelques années et entre eux, c’était une relation chien-chat. Elle, elle était la chat. L’animal fétiche de sa mère. Alors forcément, si Line voulait venir à cette fête où tous devaient être bien habillés, buffet gratuit + accès à une des boîtes les plus en vue … Line serait la cavalière de Jason. Au moins, ça avait le mérite de lui éviter d’emmener une blonde sans cervelle qui lui casserait les oreilles.

***

« Finalement, ils ont craqué.
« En même temps, une grande gueule et un gros orgueil … soit c’est la troisième guerre mondiale, soit c’est l’amour fou.
« Eux, ils mixent les deux. Tu sais pourquoi on est pas été voir le match chez Jason ? Parce que mademoiselle avait fait exploser le disjoncteur, fâchée …
« J’en connais un à qui ça n’a pas du tant déplaire …
« Mais vous pensez qu’à ça ? Rahala ! Allez accueillir le marié qui arrive !

La demoiselle d’honneur envoya les deux bestman vers le marié, Jason, qui venait d’arriver dans un beau costume. Il s’élançait au milieu des rangs, visiblement nerveux. Pourtant, il n’allait marier que Line. Juste ajouter un anneau à son doigt car depuis le bal, ils vivaient ensemble, partaient en vacances ensemble … ils étaient en couple, quoi. Ce n’était qu’un pas de plus. Et il était sûr de ce qu’il faisait. Mais il était anxieux quand même.

La demoiselle d’honneur observa les deux abrutis saluer leur troisième mousquetaire et claqua ses talons pour rejoindre une autre demoiselle.

« Ha bah ce mariage, ça va être du joli.
« J’envie le futur enfant. Il sera une bombe avec un pedigree pareil.
« Ouais … ça serait moche qu’il soit … bah moche.

***

« HAAA ! Je le sens mal, mais vraiment mal … à mon avis, c’est vraiiiiiment pas bon signe.
« Line, tu vas A-C-C-O-U-C-H-E-R ! Il est donc normal que tu le sentes mal, car ça fait un mal de chien. Ou à ce que j’ai entendu ....
« Qu’ils continuuuueeent sans moi !
« Line, le travail a à peine commencé …
« Je veux une césarieeene ! Pour une fois de ta petite vie, fais-moi un vrai cadeau ! Une césarienne !
« Ha parce que le voyage à Hawai surprise, c’était pas du cadeau, ça ?
« Si tu tiens à voir ton enfant en vie, évite ce genre de réplique, mon fils.

Jason se tourna vers sa mère qui était assise tranquillement dans le coin de la chambre pendant que Line maudissait le monde entier, accusant tout le monde de cette douleur. Elle lançait même des remarques sarcastiques dans le vide destinée au prochain-né. Si ça, ce n’était pas de la future mère en puissance …

« Line, fais-moi confiance. Tout va bien se passer.

Il reçut un long regard douteux de sa femme à travers ses mèches blondes.

« Ou fais au moins semblant … ?

***

L’accouchement n’entraîna la mort de personne fort heureusement. Le nouvel arrivant fut nommé Alec Jeremiah Paulse Mack. Un joli petit bébé avec de beaux yeux bleus. Il reçut beaucoup de compliments et tous prédirent qu’il serait beau. C’était une évidence. Mais elle eut un goût amère plus tard pour le petit enfant. Mais ça, il s’en rendit compte que plus tard. Il commença sa vie donc en Floride, chez le couple Paulse reconnu plutôt explosif. Ils étaient du genre à se donner en spectacle, à faire de chaque désaccord un combat presque à mort. Mais ils s’aimaient profondément et c’était une pair parfaitement accordée. Ils vivaient dans une belle et grande maison en bois, ce qui fait qu’elle n’avait pas coûté si cher à construire. Leur salaire de chroniqueur et de publicitaire permettait de bien vivre et de même organiser quelques vacances en automne. Alec n’eut donc jamais à se plaindre. Il était toujours bien entouré, mais peut-être un peu trop. Sa mère était en effet toujours sur son dos et au moindre problème qu’il affrontait, elle n’hésitait pas à relever ses manches quitte à devoir dire ses quatre vérités à un autre petit enfant. Tant qu’Alec ne risquait rien, tout allait bien pour elle. De ce fait, Alec ne se cassa jamais le nez contre qui ce soit, même si c’était une fille. En même temps, il suffit de voir la petite tête d’ange du garçonnet pour comprendre pourquoi sa mère tient autant à le protéger.

« Petit bout de chou … grand laideron.
« Arrête Danny, une bouille comme ça ne peut donner que quelque chose de bien.
« J’espère pour lui. Moi, je ne répète qu’un fait connu, mais pas toujours prouvé.

Malheureusement pour Alec, cette phrase s’avéra vraie pour son cas. En grandissant, il s’allongea sans vraiment s’épaissir. Le surnom « crevette » suivit peu après et devint même un petit nom employé par son père. Sympa. Et plus tard, à son grand malheur, le dentiste déclara qu’il lui fallait un appareil dentaire. 24h/24. Ce jour-là, Alec, 15ans, se dit qu’il était sacrément mal parti pour l’avenir.

Dernière édition par Alec J. Paulse le Dim 28 Juin - 22:38, édité 2 fois

C’est à son entrée au lycée qu’Alec connut véritablement son malheur. Avant, il était la crevette. Il s’en sortait pas trop mal et passait encore assez inaperçu. Par ailleurs, ayant grandi en Floride, il avait toujours une bande d’amis datant du bac à sable. Le lycée, c’était terrain inconnu. Et en plus, il avait une rail de train qui s’étendait sur sa dentition. N’étant pas con, il sut qu’il n’allait pas s’amuser. Après tout, le looser dans les films avait toujours un appareil dentaire et n’avait aucun muscle. Et devinez qui réunissaient ces deux caractéristiques ? Alec en personne. Mais heureusement, il n’était pas une tronche de pizza en plus.

En moins de deux semaines, Alec avait eu une image globale de ce que serait ses trois années de lycée. L’enfer. Bon, il n’en était pas à être enfermé dans un casier comme le dernier des loosers, mais il n’était pas pour autant le plus chanceux. La tête de turc de sa classe, c’était lui. Il en a passé de biens mauvaises minutes en cours de sport au point qu’il a appris à se changer en un temps record. Il fallait traîner le moins possible parmi ces gars pour en entendre le moins. C’était la seule tactique qu’Alec avait trouvé. Il n’est pas le genre bagarreur, mais plutôt fuyard. Et bon, il n’avait vraiment pas la carrure pour. Alors il se la jouait insensible en espérant que ça calmerait les autres. En gros, Alec était le genre à être discret. C’est pour cela sans doute qu’Elle ne l’a jamais remarqué.

Elle. Everleigh Woodworth. Dans tout film avec un looser en hero, il y a forcément la belle fille dont il tombe immédiatement amoureux. Et étant l’illustration de ce geek, forcément Alec « rencontra » la belle demoiselle. Ce fut juste … évident de tomber sous son charme. Alec se souvient parfaitement de ce jour. Il venait d’entrer dans le hall et faisant une ronde du regard, ce dernier est resté arrêté sur elle. Elle n’était pas au milieu du hall ou ne se donnait pas en spectacle. Elle était seulement entrain de parler avec une de ses amies, un livre de géographie sous le bras. Alec avait le même pour son cours. Ce premier contact … Alec eut l’impression de se prendre l’image d’Everleigh comme on se prend une porte en pleine poire par surprise. C’était peut-être ça le coup de foudre. Et ce ne fut pas douloureux. Ce fut même agréable et Alec eut l’impression de rester étourdi après, sous le choc. Elle était tellement … parfaite. Dès lors, le blondinet resta entièrement sous le charme de cette Everleigh. Il pensa que la flamme finirait par s’éteindre, mais non. Il la repérait toujours dans le couloir ou dans la cour. Impossible de la manquer. On ne manquait pas une fille comme ça. Il ne lui parla jamais, mais elle restait dans ses pensées. Les années s’écoulèrent et rien n’y changea. La vie s’améliora avec quelques amis et Everleigh resta les quelques minutes « sur le nuage » de son quotidien quand il la croisait ou entendait des personnes jacasser sur elle, des amies parlant d’un week-end passé ensemble. Alec ne réussit jamais à la chasser de son esprit, mais il ne le chercha pas non vraiment. Ce n’était pas si douloureux que ça d’aimer au loin. Après tout, il ne le côtoyait pas. C’était juste regrettable et amer. Mais que pouvait-il espérer lui, la crevette aux rails de fer dans la bouche ?

La dernière année finit par pointer le bout de son nez. Alec en était plus que ravi, car étant doué en cours, il était certain de passer. Il allait avoir son papier entouré de ses quelques amis et toujours le cœur rivé sur une demoiselle qui ne connaissait pas son existence. Premier coup de foudre, premier chagrin en quelques sortes. Néanmoins, il eut un événement qui le marqua autant que celui où il vit pour la première fois Everleigh. Il s’en souvient très bien, comme si cela s’était passé hier. Un des gars les plus stupides du lycée, typiquement le genre qui descendait Alec, faisait le beau dans les couloirs, donnant des tapes à ceux qui n’avaient jamais fait parti de sa bande d’amis. Evidement, Alec ne réussit pas à éviter sa part du « cadeau », combien même il faisait semblant d’être occupé à tenter d’ouvrir son casier. Son coup se retourna contre lui et il se prit ce casier suite à la tape. Son nez céda sur le coup et malgré lui, Alec offrit une nouvelle occasion au crétin de se marrer un coup sur une tête de turc. Mais l’imbécile offrit un sacré moment au jeune homme. En effet, un éclair blond fondit sur lui avant qu’il réalise vraiment ce qui s’était passé, un mouchoir en main. Everleigh.

« Tout va bien, tu n’as pas trop mal ?
« N…no…non, ça va aller, merci.

Unique contact avec elle, son bras sur mes épaules, un sourire aux lèvres. Première fois qu’elle me voyait, moi. Et c’était la fin de l’année. Alec savait qu’elle ne serait pas de son université et que cet unique contact marquait la fin de cette histoire. Au moins, il garderait en mémoire un sourire d’elle qui lui était dédié à lui. C’était plutôt bien en somme. Pendant quelques minutes, il avait existé dans son monde.

Ce sourire marqua un tournant dans la vie du jeune homme. Ayant fini le lycée, Alec décida de se reprendre en main. L’université serait une nouvelle vie et il ne laisserait pas l’enfer se répéter. Il se mit donc en tête de faire du sport en se rendant à la piscine et allant à la salle de sport. Ca ne pouvait être que positif. Le dentiste lui enleva aussi son appareil, dévoilant un vrai sourire de star. En un été, la chenille était devenu un beau papillon.

« C’est … Alec ? oO Dieu qu’il a changé !
« Oh tu sais, à cet âge, ça change vite … mais j’avoue, je suis fière. En plus, il entre à Stanford.

Alec avait en effet vécu une vraie transformation. Ses traits s’étaient affirmés et lui donnaient un air de statue grec entouré de ses beaux cheveux blonds. Son corps était passé de la crevette au musclé, mais pas catcheur pour autant. Il était bien. Sourire à tomber par terre et intelligence en prime. A qui ne plairait-il pas ? A personne. Alec est devenu un beau garçon et il l’a vite compris. Il a saisi sa chance de changer et s’est imposé en meneur. Sûr de lui, légèrement arrogant, drôle, compréhensif, déterminé … il en a fait tomber plus d’une. Autant profiter de toutes ces qualités pour rattraper le temps perdu, non ? C’est ce qu’Alec a fait. L’ancien lui semble mort ou à mille années lumières du nouveau, même si certaines choses restent. Comme Everleigh. Même si Alec n’est pas obsédé par la jeune fille, il ne peut s’empêcher de comparer toutes les filles à elle. Et aucune ne l’égale malheureusement. Mais il ne la reverra plus. Il faut se faire une raison. Ce ne fut pas bien difficile avec sa nouvelle vie qui peut être qualifiée de jouissive. Et encore plus lorsqu’on sait que ce n’est que la première année. La vie n’est pas belle ?

« Alors le beau, où est-ce que tu dragues cet été ?
« A Aventured land ? Je bosse cet été, moi.

En effet, Alec a décroché un poste de maître nageur dans un parc d’attraction. Surveiller des gosses au bord de l’eau, rien de plus tranquille et à la fin de l’année, bonjour la voiture de ses rêves. Tout semblait paradisiaque et sur place, Alec tombe sur une ancienne connaissance. Le frère de la belle Everleigh.

« Hey mec ! Alors t'as vu la liste d'affectation ?
« Non pas encore.
« Je crois que tu vas avoir une belle surprise alors

La surprise ? Everleigh a aussi dégoté un travail dans le parc. Alec sentit une deuxième claque et nerveux d’un coup. Il se souvenait de la jeune femme le souriant … avait-il droit à une seconde chance ? Une opportunité que le nouvel Alec allait saisir.

Et il sut la saisir. Alec la reconnut immédiatement à la soirée des employés. Elle était au bras de son frère. Toujours le même sourire, le même visage. Elle était visiblement inatteignable par le temps. Quoiqu’elle était plus belle que dans ses souvenirs. Alec se prit en main et alla se présenter avant que le frère d’Everleigh prit la poudre d’escampette. Le visage du jeune homme ne dit rien à la demoiselle, ce qui était tant mieux. Et une bonne soirée commença qui se finit par un baiser. Là, ce fut le nirvana.

Alec quitta donc la belle Everleigh sur un petit nuage qui se cassa un peu au vue d’une collègue plus que finie par l’alcool. Le jeune homme décida de la ramener pour lui éviter des histoires et elle se jeta sur lui pour l’embrasser. Il en rit, bien qu’un peu dégoûté par ce baiser mélangé à l’alcool. Il la ramena dans sa chambre avant de rejoindre la sienne, retournant sur son nuage. La vie était belle.

« Je te jure, la meilleure soirée de ma vie.
« Bah dis-moi, elle doit être exceptionnelle la demoiselle …
« Tu peux pas savoir. Tiens d’ailleurs, la voilà .. Ever… ?
« C’est moi où elle vient de partir dans le sens inverse ? Tu es sûr que tu n’embrasses pas comme un bouc et qu’elle te prend pas pour un boulet ?

L’univers d’Alec sembla s’écrouler. Et si … Everleigh regrettait cette soirée ? Non, c’était impossible. Elle souriait et ce n’était pas faux. Le jeune homme décida de s’expliquer, mais la demoiselle ne cesse de tout mettre en œuvre pour l’éviter … ce qui l’énerve. Quitte à ce qu’elle pense qu’il est un boulet, qu’elle ose le lui dire en face. L’ancien Alec aurait laissé tomber et serait allé se terrer quelque part. Le nouveau, non. Everleigh n’a pas fini de le voir (a).

Wiiiiiiiiiiii je t'aime toi tu le sais Alec; It's time to start the show (H) 10313

Bienvenue mon bouricot Alec; It's time to start the show (H) 40743

& bonne chance pour ta fiche Wink

héhéhéhéhé.

Everleigh; tu m'aimes pas seulement à cause d'Alex P., hein ? Razz

Merciii <3

Raphael; lool je veux bien te croire *out* ça fait le même effet en voyant Taylor (a)
Merci Wink

Je finis un peu plus tard ^^ ou demain (:

De toute façon je te garde le personnage héhé
Maintenant que je t'ai, je te gardes xD tu vas regretter de prendre mon scénario xDD
Mdrr mais non ... en partie (a)

Bienvenuuuuuue, & merci de ton inscription.
Bonne chance pour ta fiche Wink

Sympa le surnom Alec; It's time to start the show (H) 98194

; on a déjà dû se croiser sur un forum ^^.

Passeport pour le forum

Un exemple de post en RPG, quelque soit la provenance ou la nature de ce post. Vous pouvez le piquer sur un forum où vous êtes inscrits, ou simplement créer un texte que vous écrivez dès à présent. Attention cependant, le post doit être correctement rédigé et faire un minimum de lignes, car c'est ainsi qu'on statueras sur votre niveau de RP. /! Mettre en spoiler

Spoiler:

Zac avait bien intérêt à ne pas être sadique à ce point, sous risque de tuer sa ‘nessa. Ou de se tuer lui-même, cela dépendrait de la demoiselle (a). L’actrice n’était pas du genre à se faire marcher sur les pieds. Il suffisait de demander confirmation à Ashley qui avait souffert durant le tournage de High School Musical. Non pas que V. la maltraitait, mais elle était du genre maladroite, dans le genre destructeur parfois. En voyant le petit sourire de Zac, Baby V. lui envoya un petit coup qui dut ne pas lui faire grand effort vu la force de la demoiselle et bon, elle n’y avait pas mis du cœur (a). Bah oui, elle aimait son Zac et n’allait donc pas tenter de le casser quand même ou de le maltraiter. Ce serait une marque d’amour bien étrange que l’acteur n’apprécierait peut-être pas. Tout comme la nourriture asiatique visiblement. Bah quoi ? Etait-ce de la faute de Vanny’ si le bonheur culinaire rimait avec l’Asie maintenant ? Et bon, elle n’en était pas à lui imposer des nouilles au petit-déjeuner tout de même. Quoiqu’elle aimerait bien essayer pour voir (a). Enfin bref, la jeune femme était en phase « l’asiatique est le meilleur ! », mais visiblement pour Zac, il n’était pas en accord. Il était du genre à ne pas aimer deux jours de suite la même nourriture. Là, il voulait manger américain. La demoiselle haussa un sourcil en entendant son explication. Il fallait manger américain après une victoire des Lakers ? Sérieux ? Ca voudrait dire que si Federer gagnait, ils devraient manger de la fondue ou du chocolat ? Mauvaise foi de ‘nessa, mais elle prit un air de réflexion et elle fut tirée par son chéri pour un hot dog. Bon, elle n’allait pas en mourir et ce n’était pas si mauvais un hot dog, en espérant qu’il ne dégouline pas de gras vu qu’ils étaient dans une fête (a). Elle pouvait bien laisser Zac choisir quelques fois aussi, mais cela ne l’empêchait pas de bouder un peu. Qu’est-ce que V. serait sans sa moue de boudeuse ? Pas grand-chose.

Elle serra tout de même la main de son Zaccy et observa un peu la foule à la recherche de leur prochaine destination. Elle savait qu’elle avait de la chance de l’avoir auprès d’elle. Et cela n’avait rien à voir à cause de sa beauté ou de son succès, mais bien par sa personnalité. Il en fallait parfois pour supporter la bourrique qu’était V. et Zac semblait l’aimer malgré son caractère de cochon. Et il était un bon gentleman, attentionné et pas ennuyeux pour un sou. Certains étaient gnangnan à être le parfait prince charmant. Zac était loin de l’être. C’était typiquement le genre duquel on disait qu’il n’était pas parfait, mais tellement mieux que les autres (a). ‘nessa s’en était vite rendue compte, rien qu’à leur premier rendez-vous. Au lieu d’une sortie ciné’, il avait tout préparé lui-même et ça avait vraiment touché V. au point qu’elle n’était plus redescendue de son nuage pendant au moins deux semaines. C’était rare de tomber sur quelqu’un comme Zac et il ne fallait donc pas s’étonner que V. faisait autant de cirque lorsqu’une fille s’approchait tout. Elle avait confiance en lui, mais peur qu’il trouve mieux. Alors il était préférable d’envoyer ailleurs les filles qui venaient d’un peu trop près (a). Et en plus, vous en connaissez beaucoup qui vous font des déclarations par surprise après quelques années de relation ? C’est ce que venait de faire Zac. C’était sûr, il n’y avait pas meilleur que lui (a). Comme il n’y pouvait pas y avoir mieux que ses baisers. L’actrice pouvait en témoigner et elle venait d’en recevoir un. Rien de mieux pour retrouver le moral, même si elle l’avait déjà (a). La jeune femme lui rendit son baiser et se blottit contre lui :

« Je pense que je peux dire sans me vanter que je le sais comme tu sais que je t’aime. Enfin j’espère, dit-elle en haussant un sourcil, Je changerai pas si tu ne trouves pas mieux que moi, car je ferai tout pour te garder. Enfin, tu as déjà dû le remarquer quand je fais la chasse aux autres filles … (a) »

Un vrai bouclier anti-dragueuses cette V. quand elle s’y mettait ! Limite si elle ne bottait pas le train de certaines au sens littéral (a). Mais parfois. Il faut savoir se tenir aussi et bon, en principe il suffit qu’elle se comporte en belle petite peste pour éloigner les « dangers potentiels ». Mais elle préfère dire qu’elle sauve son Zaccy d’emmerdeuses (a). Le couple reprit son chemin quand Zac changea d’un coup de direction. V. le regarda d’un air interrogateur et sourit satisfaite du nouveau choix de son petit ami, mais elle eut une autre idée. Elle jeta un coup d’œil vers l’asiatique qui n’était pas bien loin :

« Ou … tu pourrais aller t’acheter ce que tu veux manger pendant que je vais faire un tour à l’asiatique et on se retrouve là-bas ? fit l’actrice en pointant une sorte de sculpture artistique assez grande plus loin, Et on se trouvera un coin sur l’herbe pour manger ? Et je sais parfaitement que je te fais perdre le contrôle quand je veux (a) Pas besoin de mentir chéri ! »

V. lui sourit et sentit son sac vibrer. Sans doute un message, mais cela pouvait attendre, non ?

Everleigh; merciii Alec; It's time to start the show (H) 40743

c'est peut-être toi qui vas regretter (a)

Caliope; merci ^^ ptdrrr made by Ju' u_u et pour le fo' ... j'étais sur TTF et inscrite sur un autre que vous aviez fait, mais où je n'ai jamais fini ma présentation *out*

Fiche finie (:

Et comme d'habitude, c'est un chef d'oeuvre Alec; It's time to start the show (H) 40743

J'aime l'histoire, t'as carrément cerné le personnage, c'est parfait <3
Validée Wink

bon RP avec moi (a)

Bienvenue. Bon jeu. (:

Sujet: Re: Alec; It's time to start the show (H)

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